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Presse

ITW sur Jazz Ban.com

22 novembre 2017 by admin
Presse

Pierre Durand est guitariste, compositeur et arrangeur, chanteur à l’occasion.

« Pour moi, le jazz est à ma connaissance la seule musique qui allie deux principes qui me touchent: une part importante laissée à l’improvisation et le mélange de toutes les musiques du monde. Voilà comment on peut réunir sous le nom jazz aussi bien Rabih Abou Khalil que John Zorn, Sidney Bechet et Fred Frith ».
Il n’est donc pas étonnant, en suivant cette définition, que son jeu aborde tous les styles que comprend le jazz: le blues bien sûr ( « mon premier amour » ), le jazz « old school » ( il joue avec le Brother D Blue band en compagnie de vieux briscards qui ont été les musiciens attitrés de Memphis Slim), la musique classique (que l’on entend dans ses compositions ), un jazz « nouvelle vague » aux teintes pop et rock. Il joue également du free , du jazz « open » dans la lignée de Paul Bley, la ( re ) lecture des standards dans la tradition de Jarrett, Hanck Jones,
Wayne Shorter.
Suivant les traces de Don Cherry, il aime également inclure les musiques traditionnelles d’où qu’elles viennent.

Pierre Durand a étudié la musique dans différentes écoles, la dernière étant le prestigieux Cnsm de Paris ( « ma première motivation pour y rentrer était d’étudier la musique traditionnelle d’Inde du Nord avec Patrick Moutal. Ce que j’ai fait pendant 3 ans. » ).  Il en ressort primé. Après avoir participé à des masterclass et stages ( John Scofield, John Abercrombie, Dave Liebman), il vole de ses propres ailes en trouvant un style qui lui est propre : à la fois lyrique, brut, raffiné, subtil et rock’n roll.

Sous son nom, on peut l’entendre en solo ou au sein de son « ROOTS » Quartet avec Hugues Mayot, Guido Zorn, Joe Quitzke.
Aimant les aventures musicales variées, il joue ou a joué avec l’Onj de Daniel Yvinec ( avec John Hollenbeck notamment ), François Jeanneau ( SoundPainting ) , Giovanni Mirabassi, Greg Szclapzinski,l’Onj de Paolo Damiani, Rocking Chair, David Patrois, Marine Bercot, Madame Butterfly, Richard Bonnet, Richard Turegano, le Xtet de Bruno Régnier, Sylvain Cathala-Franck Vaillant.

Avec son « ROOTS » quartet il a reçu un prix de groupe et un autre de composition au concours international de le Défense.
En solo, il vient d’enregistrer un album à la Nouvelle Orléans:
« Chapter One: New Orleans Improvisations » à paraître(mars 2012 / Les disques de Lilly).

 

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Chronique Pierre Durand / Citizen Jazz

22 novembre 2017 by admin
Presse

C’est peu de dire que l’on attendait le deuxième volet des aventures de Pierre Durand avec impatience, enchantés que nous étions par son premier chapitre solo Nola Improvisations. Il aura donc fallu attendre quatre ans (soit une éternité !) pour enfin voir son petit frère. Il se prénomme ¡ Libertad ! et se porte comme un charme, merci pour lui. Enregistré avec son Roots 4tet, l’album est une déclaration d’amour à la musique, à toutes les musiques, sans que soient évoqués les mots de frontières, de cases ou d’étiquettes. Il reflète la grande liberté avec laquelle Pierre Durand construit son univers ambitieux et singulier. Dans les notes de pochette de ¡ Libertad !, le guitariste ose nous livrer la formule de sa tambouille magique : « Cet album est un plaidoyer pour la différence, le risque et la sincérité. Il reflète ma démarche de musicien : mélanger les cultures et l’imprévu. » Pierre Durand cite ainsi les sources auxquelles il abreuve sa musique et dans lesquelles il étanche sa soif de découvertes et d’aventures ; les musiques qui l’inspirent et le font voyager. De voyage, il est beaucoup question à l’écoute de ¡ Libertad ! On passe d’une ambiance à une autre, d’un horizon à un autre, d’un folklore à un autre.

« Tribute » est un vibrant hommage à l’Afrique, celle de la traite négrière et des origines du jazz, dans lequel le saxophone sensuel et lancinant d’Hugues Mayot répond aux tambours tribaux de Joe Quitzke, à la contrebasse minimaliste de Guido Zorn et aux chants plaintifs du chœur des musiciens. « Llora, tu hijo ha muerto » est une berceuse magnifique venue des contrées latino-américaines. « ¡ Libertad ! » évoque les rituels chamaniques des Amérindiens autant que le mythe américain âpre, sauvage et lyrique de la conquête de l’Ouest. Les fantômes de Kerouac, London, Jon Krakauer ou Cormac McCarthy semblent s’emparer du saxophone rageur d’Hugues Mayot et de la guitare aérienne du leader pour guider notre chemin à travers l’épaisseur de paysages solitaires et désolés. « White Dogs » est un blues à l’ancienne, épais et granuleux, dans lequel Pierre Durand se mue en guitar-hero pour balancer des riffs à la Led Zeppelin. Quant au triptyque « Self portrait », morceau central de l’album, il synthétise à merveille tout le spectre de la musique du bonhomme : mélodies fluides et oniriques, sonorités rondes et originales (on croit entendre par moments une kalimba ou un ukulele), goût pour la danse, réminiscences de folklores populaires, emprunts hétéroclites assumés (en vrac, Weather Report, Paul McCartney, Pat Metheny, John Coltrane).

Pierre Durand s’autorise tout. Il trace son chemin avec sincérité et générosité. Fin mélodiste, puissant narrateur, il réinvente le concept de pop song, ces chansons populaires (au sens noble du terme) qui parlent à tout le monde. Avec un sens certain de l’économie, Pierre Durand va à l’essentiel. Ni trop, ni trop peu. Sa musique touche au cœur. Sous une apparente simplicité se cache une attention de tous les instants aux moindres détails, aux moindres sons, à la moindre note. Un perfectionnisme rigoureux et engagé. Le magicien Pierre Durand rend simple et limpide une musique pourtant très élaborée. La marque des très grands en quelque sorte.

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Pierre Durand Roots quartet « ¡ Libertad ! »

22 novembre 2017 by admin
Presse
jazz sous les pommiers

Musicien subtil, fin mélodiste, Pierre Durand se plait à explorer les multiples facettes du jazz. Passant d’une ambiance à une autre, d’un horizon à un autre, il puise dans les racines de la musique afro-américaine. Son jazz sans case et sans étiquette, sous une apparente simplicité passe de l’Afrique ancestrale à Charles Mingus, d’un menuet baroque aux incantations chamaniques des indiens d’Amérique. Tout se mêle en un rêve qui passe. Une sorte de déclaration raffinée à toutes les musiques.
Ce concert est soutenu par la Spedidam.

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La programmation 2018 du festival Jazz sous les pommiers du 05 au 12 mai 2018

Enregistrement de l’émission de Joe Farmer « L’épopée des musiques noires » sur RFI

20 novembre 2017 by admin
Actualités, Presse

Pierre Durand, Joce Mienniel et Nanou Coul, du projet « Jour de Blues à Bamako » en plein enregistrement de l’émission de Joe Farmer « L’épopée des musiques noires »sur RFI qui sera diffusée le 25 novembre. Vous pourrez également entendre et voir le projet dans le cadre du Festival Jazz au Fil de l’Oise le 13 décembre…

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